mardi 15 juin 2010

Jour 9 et 10, Après la pluie vient...l'orage...puis la tempête

Ces derniers jours la météo nous joue des tours!



Hier nous avons réussit à faire la route jusqu à Porto Vecchio en passant par Zonza. Nous sommes passés par le col de St Eustache où nous avons parcourus une foret dévastées par les incendits - paysage très triste.
Nous faisont halte a Zonza et nous pensions poursuivre vers le col de Bavella mais prennons finalement la direction de Porto Vecchio par peur de manquer d'essence (et oui, pas de station à Zonza). Arrivés à Porto Vecchio nous cherchons un resto pour déjeuner sur la Marina. Nous flaneons ensuite une petite heure dans le vieux Porto Vecchio perché sur la colline.
Nous repartons ensuite en direction de Solenzara.
A Solenzara, nous bifurquons vers la montagne où nous nous apprêtons à en prendre plein les yeux avec le col de Bavella.

En chemin nous rencontrons une fratterie de petits chochons "trop mignons" au dire de la passagère.
Nous arrivons au col de Bavella où nous admirons de superbes...nuages !! En plus des nuages, il fait froid. Nous redescendons rapidement vers l'hotel.

Le ciel est alors gris et le vent forcit. En début de soirée c'est l'orage. Nous partons diner sous une pluie batante.

Le lendemain matin, le temps est plus clément. Après un petit déjeuné nous partons sereins, en direction de Bonifaccio. Le temps est légèrement couvert mais rien d'inquiétant. Une fois arrivés, nous déjeunons rapidement afin de profiter de notre balade sur le port et en haut de la citadelle.



La citadelle est un très bel endroit, dont certains batiments arborent fièrement une architecture médiévale. Notamment l'église Sainte Marie, classée momument historique. Après être passés dans beaucoup de passages et escaliers labirynthiques, nous rejoignons la moto afin de rentrer sur Olmeto.

Le temps semble se couvrir mais nous prenons tout de même la route. Et c'est bien entendu une fois en pleine montagne que des bourasques de vent et de forte pluie s'abatent sur nous. Nous tentons de nous abriter sous des tamaris mais au bout de quelques minutes l'eau transperse.
Les routes sont sinueuses, nous n'avons pas de combinaisons de pluie et l'eau dévale des hauteurs. Mais finalement, archi trempés nous continuons doucement la route. Ce n'est pas une mince affaire ! Nous arrivons enfin à l'hotel, complètement trempés du bout des gants juqu'aux chaussures !

Merci à la moto qui a fait la route dans d'aussi mauvaises conditions (je me souviens d'une précédente monture qui était tombé en panne, le moteur noyé par les trombes d'eau).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire